L’entreprise : d´définition et généralités Introduction Qu’est-ce qu’une entreprise ? Il n’existe pas de d´définitions universelle de l’entreprise. Elle déprend de l’approche que l’on choisit. Il existe trois types d’approche • L’approche ´économique • L’approche sociologique • L’approche systémique 1.1 L’approche ´économique 1.1.1 Unité de production des Biens et Services Selon l’approche économique, l’entreprise est une unité de production des biens et services destinée aux marches de biens de consommation (grand public) et aux marches de biens de productions (les autres entreprises). Pour fonctionner, l’entreprise a besoin de flux d’entrées les inputs (matières premières, marchandises, services, capitaux, travail et surtout informations). L’entreprise transforme ces inputs en outputs (produits Finis, marchandises, services, informations). Lors de cette transformation, l’entreprise crée de la richesse (ajout de valeur aux inputs). Cette richesse est appelée valeur ajoutée, elle représente la contribution réelle de l’entreprise `a la richesse nationale (P.I.B.). La conception de la notion de production a fortement évolua´e. En effet, nous ne sommes plus en situation de pénuries relatives o`u il suffisait de produire pour vendre. De nos jours, les entreprises essaient de différencier leurs offres et de positionner leurs produits par rapport `a ceux des concurrents dans le but d’obtenir un avantage concurrentiel (compétitif). Qu’est-ce que la différenciation ? Différencier un produit ou un service consiste à le démarquer de ceux de la concurrence sur la base des quatre « P ». • Produit > La différenciation par le produit considère ses caractéristiques intrinsèques, à savoir sa composition, sa qualité, son aspect marchand (garanties, assistantes, ...). • Prix > Il existe deux stratégies en matière de différenciation par le prix : soit une stratégie écrémage qui consiste à fixer les prix plutôt plus élèves que le concurrent, soit une stratégie de pénétration de marche qui consiste à fixer les prix plutôt moins élèves que le concurrent. > Le prix de vente d’un produit est déterminé par quatre facteurs : · Cout de reviens. · Concurrence. · Demande (clients), on prend en compte la notion de prix psychologique. · Réglementation en matière de fixation de prix (ex : dans le secteur pétrolier en période de crise). • Place (Distribution) > Généralement un produit de haute gamme vendu cher est destine a un réseau de distribution sélectif. Il importe de distinguer canal de distribution, circuit de distribution et réseau de distribution. · Un canal de distribution, c’est la voie d’acheminement d’un produit entre deux intermédiaires dans un circuit de distribution. · Un circuit de distribution est l’ensemble des canaux de distribution. · Un réseau de distribution est l’ensemble des circuits de distribution. • Publicité (& Promotion) > Ces procèdes concernent la communication autour du produit. Un gros budget de communication au lancement d’un produit permet de se démarquer de la concurrence. > La publicité consiste `a attirer les consommateurs (ou prospects) vers le produit (stratégie « pull »). La publicité joue trois rôles : · Rôle cognitif · Rôle affectif · Rôle conatif > La promotion consiste à pousser le produit vers le consommateur (stratégie « push »). Le dosage et la cohérence des quatre « P » constitue le Marketing-Mix (terme apparu dans les années 80). Qu’est-ce que le positionnement ? Le positionnement consiste à positionner le produit, `a graver dans l’esprit des consommateurs (ou prospects) une image claire et minutieuse du produit (ou service, entreprise) par rapport `a la concurrence. 1.1.2 Unit´e de répartition des richesses 1.2 L’approche sociologique Selon l’approche sociologique de l’entreprise, l’entreprise est composée de 3 acteurs principaux : • Apporteurs de capitaux • Dirigeants • Salaries Ces 3 acteurs ont des objectifs et des stratégies individuelles différentes. En effet, en ce qui concerne les apporteurs de capitaux, leur logique est purement financière, ils recherchent avant tout la rentabilité de leurs pla-cements. Leur but est de garantir leurs gains et si possible les augmenter. Les apporteurs de capitaux sont attires par des placements de plus en plus rentables. Leur source de pouvoir est le capital. Ils élaborent ainsi une stratégie d’investissement ou alors de retrait (en cas de perte). En ce qui concerne les dirigeants, leur logique est la maximisation des performances de l’entreprise, Evaluées par la rentabilité économique des capitaux. Leur but consiste `a garantir leur place et `a élargir leur pouvoir (capital et organisation). En ce qui concerne les salaries, leur logique est l’´epanouissement et la sécurité de l’emploi. Ils ont pour but de garantir leur emploi, si possible un réalisant un travail intéressant dans de bonnes conditions Matérielles et psychologiques. La source de leur pouvoir est le savoir-faire. Leur stratégie est celle de l’adhésion, c’est-`a-dire de l’attrait de la carrière. Pour que l’entreprise puisse fonctionner, compte-tenu des stratégies individuelles élaborées par les 3 acteurs identifiés, il faut donc un consensus ou compromis organisationnel. 1.3 L’approche systémique (l’entreprise en tant que système) 1.3.1 Qu’est-ce qu’un système ? Un système peut être défini comme un ensemble compos´e d’´el´ements en interaction permanente, organisé et ouvert sur son environnement auquel il doit s’adapter en permanence pour sa survie. Envisager une entreprise en tant que système consiste `a la considérer comme un ensemble organise, compos´e de différentes fonctions, services, individus en permanente interaction, ayant tous des objectifs pouvant être contradictoires. 1.3.2 L’approche en elle-même L’entreprise en tant que système est ouverte sur son environnement externe, source de menaces à appréhender mais aussi d’opportunités à saisir. L’entreprise doit s’y adapter en permanence pour sa survie et son d´développement. Les composantes de l’environnement sont tr`es diversifiées : technologie, social, culturel, juridique, ´économique, politique, écologique, concurrence, clients, fournisseurs. L’environnement international prend en compte toutes les composantes précédemment cites au niveau des pays d’importation. Pour l’informaticien d’aujourd’hui, cette tendance d’approche de l’entreprise en tant que système s’explique de plus en plus également par le succès rencontre par les progiciels de gestion (ERP : Enterprise Resource Planning) dont la paramétrage et l’implémentation requiers de bonnes connaissances des pratiques Fonctionnelles des services de l’entreprise, les relations entre ces derniers, ainsi qu’avec les clients, les fournisseurs, etc. . . Chapitre 2 La classification des entreprises 2.1 En fonction des activités 2.1.1 Le secteur d’activité Il existe trois secteurs d’activité : • Secteur primaire : il concerne les activités relatives `a l’agriculture, `a l’élevage, aux mines et atout exploitation de matières premières. • Secteur secondaire : il correspond aux activités de transformation des matières premières en produits finis. On trouve ces activités dans les firmes (entreprises industrielles). • Secteur tertiaire : il correspond aux activités de production de services (banques, assurances, garagiste. . .). De nos jours, on constate un déplacement de l’emploi `a partir du secteur primaire vers le secteur tertiaire. 2.1.2 Le domaine d’activité Le domaine d’activité classe les entreprises selon les actions réalisées. On distingue six domaines d’activité. • Entreprises agricoles : opérations liées à l’agriculture et `a l’élevage (secteur primaire). • Entreprises industrielles (secteur secondaire). • Entreprises ou sociétés prestataires de services (secteur tertiaire). • Entreprises commerciales (secteur tertiaire). • Sociétés d’assurances (secteur tertiaire). • Sociétés & établissements de crédits et services bancaires (secteur tertiaire). 2.1.3 La branche d’activité La branche d’activité classe les entreprises par catégories, elle prend en considération leurs similitudes au niveau de leurs dimensions (effectifs, chiffre d’affaire, capitaux propres . . .), leurs formes juridiques (Société de capitaux. . .), leurs localisations (entreprise départementale, nationale, internationale. . .). La comparaison entre entreprises s’effectue dans le cadre de la rentabilité à travers l’´etablissement des ratios. Les ratios sont publies tous les ans par la Banque Centrale de France par branche d’activité et par moyenne de la branche d’activité (anecdote : on appelle « Canard boiteux » une entreprise sous la moyenne et « Ruban bleu »une entreprise au-dessus). 2.1.4 La filière Une filière regroupe plusieurs activités. Un produit est mis à la disposition de l’utilisateur (client final) par une succession d’opérations effectuées par des entreprises ayant des activités diverses. Si l’on considère le marché final (aval), on peut définir une filière comme l’ensemble articule des activités productives qui l’alimentent. Amont Centre Aval Exemple de filière du marche agro-alimentaire 2.2 Selon la forme juridique La forme juridique correspond au statut légal choisit par l’entreprise. Pour les entreprises du secteur prive, on peut distinguer deux situations. 2.2.1 Les entreprises fondées par une personne Les entreprises individuelles (ou personnelles) Cela représente en général les très petites entreprises ou les artisans. La responsabilité de l’entrepreneur individuel est illimitée. Cela veut dire que le créateur est responsable de façon illimitée sur les biens propres et la totalité des dettes de l’entreprise. En effet, il n’existe pas de distinction entre le patrimoine personnel et celui de l’entreprise. On dira que l’entreprise n’a pas de personnalité morale. Compte-tenu des risques li´es à la création d’une entreprise Individuelle, on a pense à l’EURL. Les entreprises unipersonnelles `a responsabilité limitée (EURL) La loi du 11 juillet 1985 permet de pallier les risques et inconvénients de l’entrepreneur individuel par la création d’une SARL `a une personne avec un apport minimum exigé de 5500 dollar. Cet apport minimum permet de distinguer le patrimoine du créateur `a celui de l’EURL qui deviendra une personne morale avec ses biens propres. Depuis aout 2003, la loi « pour l’initiative ´économique »permet désormais la création d’une EURL (ou SARL) `a 1¤ en un jour. 2.2.2 Les entreprises sociétaires (fondées par plusieurs personnes) On distingue deux types d’entreprises sociétaires, les entreprises de personnes et les entreprises de capitaux. Mais avant tout, nous allons définir le terme de société. Qu’est-ce qu’une société ? Une société peut être définie comme un contrat entre deux personnes (sauf dans le cas d’une EURL) pouvant n´nécessiter des apports exiges (en numéraire, en nature, ou en industrie), pouvant donner naissance `a une personne morale âpres immatriculation au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés). Avec la nouvelle loi, on peut commencer ses activités sans avoir ´et´e préalablement inscrit au registre. Les sociétés de personnes : les SNC (Société en Nom Commun) Les associes de la SNC sont solidairement et indéfiniment responsables proportionnellement sur leurs biens propres de la totalité des dettes de l’entreprise. Les associes sont imposes sur le revenu. Les sociétés de capitaux SARL (Société `a responsabilités limitées) Pour créer une SARL, il faut un minimum de 2 personnes et un maximum de 100 personnes. Cette création nécessite un apport minimum exige de 5500¤ (possibilité de création à 1¤en un jour). Lorsqu’on accepte un 101eassoci´e, la SARL doit changer son statut en SA (Sociétés Anonyme). L’acceptation d’un associe dépend de l’accord des associes de la SARL. SA (Société anonyme) Pour créer une SA, il faut uniquement un minimum de 5 personnes (pas de maximum requis). Cette création nécessite un apport minimum exige de 35000¤. Cet apport minimum Exige passe `a 225000¤l roquons fait appel `a l’´epargne publique (lorsqu’on s’adresse `a une société financière pour r´écôter les fonts). 2.3 Selon la dimension 2.3.1 L’effectif En France, il y a plusieurs façons de caractériser une entreprise par son effectif. Selon l’UNEDIC (Union Nationale interprofessionnelle pour l’emploi dans l’industrie et le commerce), on distingue 5 catégories D’entreprises selon leur effectif : TPE (ou micro-entreprise), PE, ME, GME, GE. TPE (micro-entreprise ou tr`es petite entreprise) Une TPE est caractérisée par un effectif inferieur `a 10 salaries. Le chiffre d’affaires d’une TPE est Inferieur `a 2000000 ¤ (anecdote : 61% des TPE françaises n’ont pas de salaries). PE (petite entreprise) Une PE a un effectif compris entre 10 et 49 salaries. Le chiffre d’affaires d’une PE est inferieur `a 10000000 ¤. ME (moyenne entreprise) Une ME a un effectif compris entre 50 et 199 salaries. Son chiffre d’affaires est inferieur `a 20000000 ¤. GME (grande et moyenne entreprise) Une GME a un effectif compris entre 200 et 499 salaries. Son chiffre d’affaires est inferieur `a 50000000¤. GE (grande entreprise) Une GE a un effectif supérieur ou égal `a 500 salaries. Son chiffre d’affaires est supérieur `a 50000000 ¤. Il faut noter qu’on reprend ici uniquement le classement de l’UNEDIC. Il existe d’autres classements, selon les divers organismes. 2.3.2 Le chiffre d’affaires Pour une entreprise commerciale, le chiffre d’affaires correspond au montant des ventes. Pour une entreprise Industrielle, le chiffre d’affaires correspond `a la production vendue (quantité vendue prix de vente). 2.3.3 Le bénéfice net Le bénéfice net est la somme des produits réalises par celle-ci sur la période, de laquelle on a déduit l’ensemble des charges (d’exploitation, financières et exceptionnelles) engagées sur la même période, ainsi que l’impôt sur les sociétés. 2.3.4 La valeur ajoutée La valeur ajoutée représente la différence entre le prix de vente d’un produit et la valeur totale des dépenses qu’elle a engagée pour se procurer les biens et services qu’une entreprise donnée transforme. 2.3.5 Les capitaux propres Les capitaux propres sont pour les entreprises ce que les apports personnels sont pour les particuliers. Les capitaux propres correspondent aux ressources stables de l’entreprise. Ils sont compos´es du capital social, des réserves et du report `à nouveau. 2.3.6 La surface de vente On répertorie plusieurs catégories de distributions en fonction de la surface de vente (en m2) : • De 120m2 `a 400m2 : Superette. Chapitre 3 Les structures organitionnelles 3.1 Définition La structure regroupe les différents organes et les relations entre eux (hiérarchiques ou fonctionnelles). En fait, il s’agit de la répartition des taches, des responsabilités, des pouvoirs et des communications dans L’entreprise. Selon Mitzberg, la structure se définit comme la somme des moyens employés pour diviser le travail en taches distinctes. La structure est définie par : • Sa forme fonctionnelle. • Son degré de formalisation (recours `a l’´ecrit) : ce qui doit être fait. • Son degré de standardisation (importance des procédures) : comment cela doit être fait. • Son niveau de prise de décision (décisions `a tous les niveaux 7! décentralisation) • Sa sphère de communication • La différenciation : la création de départements et de services relativement autonomes conduit L’entreprise `a développer des pratiques différentes au sein de l’entreprise. • L’intégration : coordonner les unit´es de l’entreprise, afin d’obtenir l’adhésion des membres aux Objectifs de l’entreprise. On distingue : • La structure mécaniste : - Forte spécialisation des taches. - Formalisation stricte. - Forte centralisation. • La structure organique : - Taches continuellement prédéfinies. - Responsabilités partagées. - Autorité basée sur les compétences, plutôt que la hiérarchie. • La structure formelle : - Matérialisation. - Décrite par un organigramme. • La structure informelle : 3.2 Les différents types de structures Il existe six types de structures, et aucune d’entre elles n’est transférable d’une entreprise `a une autre. On dit qu’`a terme, « on saura la structure qu’on mérite ». 3.2.1 La structure hiérarchique (Fayol) Exemple : Structure hiérarchique d’un régiment d’armée. Avantages : • Simplicité (tout est écrit). • Répartition claire des responsabilités. • Facilite le maintien de la discipline. Inconvénients : • Rigidité. • Lenteur de l’information. • Difficile `a mettre en place (notamment dans un environnement complexe). • Ne favorise pas la prise d’initiative. 4.2.2 La structure fonctionnelle (Taylor) La structure fonctionnelle réside en le principe de spécialisation. Selon Taylor, il est impossible qu’un contremaitre possède toutes et toujours les connaissances nécessaires au bon fonctionnement des opérations. Donc un subalterne ne doit pas avoir un seul chef, mais plusieurs. Avantages : • Conseils à différents spécialistes. • Qualité d’exécution. • Rendement plus élève. Inconvénients : • Rigidité. • L’organisation perd en clarté. • Pouvoir dilue. • En cas d’erreur, difficulté pour retrouver la cause. 4.2.3 La structure divisionnelle La division est basée sur les domaines d’activité. Exemple : Produits, technique, distribution, type de clients... Chaque division dispose de ses ressources et est gérée comme un système semi-autonome. Dans chaque division, on peut trouver une structure fonctionnelle. Avantage : • Proximité des marches entrainant une souplesse et une capacité d’adaptation. 3.2.4 La structure Staff & Line Fusions des deux modèles pour en supprimer les inconvénients. 3.2.5 La structure matricielle La structure matricielle réunit une structure temporaire par projets et une structure stable par fonctions. Avantages : • Très efficace pour d´développer les activités nouvelles et coordonner les activités multiples et complexes. • Coordination assurée par les responsables de projet. • L’expertise est assurée par les services fonctionnels. Inconvénients : • Source de conflits. • Problèmes d’encadrement et de communication • Ne correspond pas aux grands groupes qui décentralisent la production, la commercialisation et la publicité, etc... 2.3.2 Les différents types d’organigramme Les organigrammes sont en général en bannière, sinon de manière circulaire ou en forme de trèfle. L’organigramme doit être périodiquement corrige en fonction des départs, des embauches et des facteurs de contingence. 3.3Les déterminants de la structure La théorie de la contingence stipule que la structure de l’entreprise est déterminée par les caractéristiques de l’environnement. Pour qu’une structure soit efficace, il faut qu’il y ait a d’équation étroite entre les facteurs de contingence et les paramètres de conception d’une structure. On distingue six différents facteurs de contingence. 3 4.1 L’âge de l’entreprise Plus une organisation est ˆâgée, plus son comportement est formalise. Le travail est bien maitrise, et `a tendance `a être répète, ce qui favorise l’´etablissement de procédures. 4.4.2 La taille de l’entreprise Plus une organisation est de grande taille, plus sa structure est élaborée et plus les taches sont spécialisées et formalisées. 4.4.3 Le système technique Dans un système de production `a l’unit´e (petite structure), le travail n’est pas standardise, formalisé. La communication se réalise par ajustement mutuel entre ouvrier et supérieur direct. Dans un grande entreprise, le comportement de l’homme est impose par la machine, entrainant un travail répétitif, standardisé, formalisé. La coordination se fait par des procédures . 4.4.4 L’environnement • Stable ou alors dynamique (choix d’une structure organique, non formalisée, car la demande n’est pas prévisible). • Simple ou alors complexe (décentralisation fortement conseillée). • Accueillant ou alors hostile (décentralisation). 4.4.5 La culture La culture sociétale a tendance `a se reproduire dans une entreprise, donc centralisation et autocratie sont enracinées dans la programmation mentale de la population. 4.4.6 Le pouvoir Plus le contrôle extérieur est puissant (par exemple, actionnaire majoritaire), plus la structure de l’entreprise est formalisée et standardisée. Dans ce cas, le dirigeant exige des preuves écrites des actions, car il n’est responsable de ce qui arrive `a l’entreprise. Le besoin de pouvoir de certains dirigeants pousse quelque fois `a une centralisation extrême. 4.5 Les nouvelles formes d’organisations (les tendances actuelles) Les principales origines des nouvelles formes d’organisation sont d’ordre : • Economique : l’environnement instable et l’intensification de la concurrence ont favoris´e les structures plus souples, plus adaptables et plus d´décentralisées. On peut aussi externaliser les activités 4.5.1 La structure plate La structure plate tend `a gommer les différences hiérarchiques et `a permettre `a l’ensemble du personnel d’être créatif et `a l’´ecoute du marche. 4.5.2 Les réseaux D´définition : Un réseau est une entreprise et l’ensemble de ses partenaires. De plus en plus, l’entreprise cherche `a se recentrer sur son savoir faire, son métier (internationalisation), et confit l’extérieur toutes les autres activités ..